Traduire… et après

Je suis obnubilé par l’idée d’être accessible en 5 langues et en permanence. D’une part, en cumulant l’Anglais, le Français, l’Allemand, l’Italien et l’Espagnol on s’adresse à 70% des 500 millions d’Européens dans leur langue maternelle. D’autre part, c’est un moyen pour nous de stabiliser le business en le plaçant sur divers marchés non soumis aux mêmes conjonctures.

Tout ceci soulève de nombreuses questions et c’est bien la raison pour laquelle pour 90% de cyber-marchands, vendre à l’étranger se résume à livrer en Belgique. Il faut trouver un produit suffisamment rare pour que quelqu’un habitant en Autriche ait besoin de l’acheter en France. Un produit suffisamment facile à transporter pour qu’il n’y en ait pas pour trois fois la valeur de la marchandise.

Ensuite, il faut traduire nos contenus en permanence, trouver des personnes aptes à référencer un site dans leur langue maternelle et depuis leur pays. J’ai peut-être déjà trouvé une personne en Espagne et en Allemagne.

En dernier lieu, il nous faudrait la ressource pour pouvoir répondre au téléphone, rassurez et vendre plus, passez un petit coup de fil de temps à autre à certains clients. C’est travailler à l’ancienne mais c’est hyper-important dans la relation.

Ce n’est pas évident de trouver ces personnes, il faut qu’elles soient de langue maternelle étrangère, qu’elles aient une autre compétence pour les mettre à profit dans la société.

Cela en vaut tout de même la peine, il faut donc que j’embauche un développeur en php, allemand de naissance.

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