Aujourd’hui on jette notre fax. Adieu les rouleaux encreurs qui bourrent, les publicités payées par le destinataires, les pages illisibles.
Il est en attente, dans une espèce d’antichambre qui précède la poubelle. C’est que malgré tous ces défauts on a du mal à le laisser nous quitter.
Concrètement, il n’a pas servi depuis 5 ou 6 ans facilement. Les rares fax (1 par semestre) sont désormais réalisés par IP et pdf, en tout numérique.
J’ai toutefois rencontré un VRP multicarte qui ne travaillait que par fax et par téléphone. Pas si ringard, bien au contraire mais si seulement il découvrait la rapidité et la facilité des emails il se rendrait compte que ce n’est pas un gadget moderne.