Les très mauvaises expériences de ma faillite m’ont appris – ou forcer – à me méfier de tout. C’est oublier que la meilleure des armes avec ses collaborateurs c’est la confiance.
R. est en place depuis quelques mois maintenant et, après de nombreuses mises et remises au point, je prends conscience du bien et du travail qu’il apporte à la société. La lutte et le contrôle laissent peu à peu place à l’initiative et la confiance mutuelle. Je me rends compte aussi que l’inertie ou la paresse ne sont pas une fatalité, que la motivation existe aussi.
J’ai pris désormais conscience et plus que quiconque que pour bien manager sa petite équipe il faut être constamment là, pour initier, orienter, confier, trancher. Ils veulent de la liberté et de la responsabilité, ils veulent un chef. C’est extrêmement positif, ma dreamteam est en gestation. Nous sommes 7, il nous en manque encore.